mardi 9 août 2011

On parle de Fred Duthil dans l'Equipe

Notre co-équipier Frédéric Duthil est actuellement en course sur la seconde étape de la Solitaire du Figaro (course à la voile) à la barre de Sépalumic. Cette étape est partie de Caen dimanche après-midi pour Dun Laoghaire (Irlande) où la flotte est attendue demain matin. Fred compte parmi les favoris de l'épreuve bien qu'il ait écopé d'une lourde pénalité lors de la première étape. Le journal l'Equipe, sous la plume d'Anouk Corge, mettait Fred à l'honneur dans l'édition de dimanche. Lire l'article ci-dessous en cliquant sur l'image :

Pour suivre le classement de La Solitaire en direct : http://www.lasolitaire.com/news/#

3 commentaires:

Le Joub a dit…

Un article dans l'Equipe !
Le Sommet de la Gloire !!!

YLG a dit…

Formidable finish de Fred, en Irlande. Il termine 8ème de la seconde étape après avoir remonté 10 places dans les dernières heures de course. Remontée obtenue surement par de fins réglages au portant plus un matossage et un pompage des ballasts très actifs, grâce à sa très bonne condition physique travaillée tout l'hiver en notre compagnie! Bon repos à Fred pendant son étape irlandaise (prochain départ dimanche 14 août).

YLG a dit…

Pour se faire une idée de ce qu'il se passe sur un voilier Figaro, compte-rendu de Morgan Lagravière, 6ème à l'arrivée en Irlande :"C’est l’étape la plus dure que j’ai vécue ! Trois journées et trois nuits très difficiles dans de la mer et du vent fort. Je n’ai pas pris de plaisir, partagé entre l’envie de bien faire et la peur, parce qu’on s’est fait des sensations dans 35 nœuds sous spi. Ca partait dans tous les sens. Il va falloir se reposer, manger de vrais plats, faire le break avec le bateau et se changer les idées. Honnêtement, je me pose des questions quant à continuer sur le circuit Figaro! Je suis content de voir à quoi ça ressemble parce que ce sont des régates spéciales et intéressantes, mais c’est tellement dur! Ca a été raide dès le départ de Caen. Et après, l’état de la mer était tel qu’on ne pouvait pas lâcher la barre… Quant à la fin, on était déjà un peu à bout et on se tape plus de trente nœuds sous spinnaker! Le bateau allait à plus de 18 nœuds (33km/h), c’est impressionnant. Et on se rend compte qu’on peut vite passer à l’eau quand on se fait balayer par les vagues et qu’on tombe tout le temps dans le bateau. Il fait froid, il y a du vent, on mange mal, on ne dort pas, on est épuisé : les petits plaisirs quotidiens sont réduits à néant!"